Carreleuse, influenceuse et ambassadrice FFB
Le contenu est réservé à nos adhérents. Pour le consulter
Pour tout vous dire, je ne me suis pas levée un matin en me disant « je vais faire des vidéos sur les réseaux ! ». Mais, un jour, j’ai posté une vidéo, comme ça, pour voir, et c’est parti. Pour la toute première, j’ai fait 600 000 vues ! Ça m’a surprise et amusée aussi, j’ai trouvé ça cool.
À terme, pensez-vous être présente sur d’autres réseaux que TikTok et Instagram ?
Aujourd’hui, TikTok et Instagram sont les deux réseaux sociaux qui me correspondent le mieux, mais ça évolue tellement… On ne sait pas ce qui viendra demain, on verra.
Contrairement à des influenceurs qui en ont fait leur métier, mon activité principale est bien carreleuse, alors je n’ai pas de stratégie des réseaux sociaux à proprement parler.
J’aime partager, échanger avec ma communauté et j’essaye de répondre au mieux à tous les messages qu’on m’envoie, mais avec les chantiers, il me reste parfois trop peu de temps.
En tant qu’ambassadrice de la FFB sur les réseaux, quel sera votre rôle ?
J’aimerais mettre en avant d’autres métiers du bâtiment. J’ai la chance d’avoir aujourd’hui une popularité sur les réseaux, j’aimerais en faire profiter le secteur. Quand la FFB m’a proposé d’aller à la rencontre d’autres entrepreneurs pour faire découvrir d’autres métiers, j’ai tout de suite été emballée. Moi, je suis carreleuse, je trouve ça très enrichissant de voir comment mes confrères travaillent. J’ai hâte de visiter, partout en France, d’autres sites, d’autres entreprises ou métiers, comme chef de chantier ou plombier, par exemple.
Et puis, je me suis dit que si les réseaux sociaux pouvaient mieux faire connaître mon métier et me permettre de partager mes connaissances et mon quotidien avec le grand public, ça pouvait être vraiment super. Quand la FFB m’a proposé d’aller à la rencontre d’autres entrepreneurs pour faire découvrir d’autres entreprises et d’autres métiers, j’ai tout de suite été emballée.
Quels conseils donneriez-vous aux jeunes qui veulent se lancer dans le bâtiment ?
Personnellement, j’aime ce que je fais. Alors oui, bien sûr, il faut travailler, ne pas avoir peur de faire des heures et il ne faut pas être fainéant, mais c’est cool !
Les métiers du bâtiment laissent une trace. À chaque fin de chantier, j’ai un sentiment de fierté, c’est vraiment agréable.
Des conseils ? Je dirais à tous les jeunes d’essayer, de goûter au métier. Parfois, c’est comme ça qu’on découvre une vocation. Car si on a le goût du travail bien fait, qu’on aime travailler avec ses mains — et aussi avec sa tête —, il y a des centaines de possibilités dans le secteur du bâtiment. C’est aussi une valeur sûre, il y aura toujours du travail dans notre secteur. C’est tellement utile de travailler dans le bâtiment !
On se rend des services entre nous. Il y a une bonne ambiance sur les chantiers… Franchement, je préfère ça à travailler dans un bureau !
Contenu réservé aux adhérents FFB
- Profitez aussi de conseils et de soutien
Des services de qualité, de proximité, avec des experts du Bâtiment qui connaissent vos enjeux métier et vous accompagnent dans votre quotidien d'entrepreneur.
- Intégrez un réseau de 50 000 entreprises
La FFB est fière de représenter toutes les entreprises du bâtiment, les 2/3 de nos adhérent(e)s sont des entreprises artisanales.
- Bénéficiez des dernières informations
Recevez Bâtiment actualité 2 fois par mois pour anticiper et formez-vous aux évolutions des métiers ou de la législation.