Plomberie sanitaire

L’entretien des installations de plomberie sanitaire a une influence significative sur la durée de celles-ci et leur bon fonctionnement. Il permet à la fois de vérifier les appareils et équipements, de prévenir les éventuels dysfonctionnements ou désordres, mais aussi de pouvoir planifier les travaux de réparation, en offrant l’avantage au propriétaire de l’ouvrage de maîtriser ses dépenses.

Les économies d’eau potable et l’utilisation de l’eau de pluie dans les bâtiments représentent des solutions pour diminuer la pression sur une ressource à préserver. Les pistes de progrès sont nombreuses et réglementées.

La mise en œuvre des appareils sanitaires en salle de bains est source de nombreux questionnements auprès de notre Union. Normes, réglementation, bonnes pratiques ? Il n’est pas toujours aisé de s’y retrouver dans la masse des référentiels. Nous vous présentons ici, sous forme de foire aux questions, les principales dispositions applicables en salle de bains selon les exigences réglementaires et les règles de l’art.

L’entartrage, la corrosion et l’embouage sont les trois principales causes de dommages dans les circuits fermés de chauffage et d’eau chaude sanitaire. Sans oublier le risque bactérien.

Un guide, paru en juin 2019, permet de mieux dimensionner les systèmes de production d'eau chaude sanitaire dans l'habitat. Il s'appuie sur un ouvrage publié en 2016 qui donnait de nouvelles valeurs de besoins, plus faibles que celles couramment utilisées. Par rapport aux méthodes de référence existantes, les nouvelles méthodes de calcul indiquent des puissances minorées, dans le sens d'une réduction des coûts d'exploitation.

Certains « matériaux et objets », lorsqu’ils entrent au contact d’eau destinée à la consommation humaine, peuvent être à l’origine de dégradations de la qualité de l’eau et peuvent engendrer de ce fait un dépassement des limites et références de qualité réglementaire, voire des risques sanitaires pour les consommateurs.

Le nouvel arrêté du 23 février 2018 relatif aux règles techniques et de sécurité applicables aux installations de gaz combustible des bâtiments d'habitation individuelle ou collective, y compris les parties communes entrera en vigueur le 1er janvier 2020.

La certification de produit constitue la garantie de la conformité des produits visés à la réglementation, aux normes et aux textes complémentaires en vigueur les concernant. Elle atteste que les produits proviennent d'une fabrication dont la qualité est contrôlée suivant les dispositions prévues dans le règlement de la marque.

Le dimensionnement des évacuations d’eaux pluviales (gouttières, chéneaux, descentes, collecteurs) fait l’objet du DTU 60.11 Partie 3 d’août 2013.

Quelles sont les prescriptions de mise en œuvre relatives à l’enrobage des canalisations d’alimentation d’eau froide et chaude sanitaire dans un plancher ?

Le solaire thermique a connu au milieu des années 2000 une période faste qui laissait présager un bel avenir à la chaleur renouvelable. Après plusieurs années de baisse à 2 chiffres, le marché semble se stabiliser, principalement grâce au segment du collectif qui est désormais devenu le principal marché porteur. Cette technologie éprouvée souffre du manque de soutien des pouvoirs publics alors qu'elle offre de nombreux avantages.

Depuis la fin de l’année 2018, les tubes et raccords constituant les réseaux de chauffage et de distribution sanitaire ne sont plus encadrés par des Avis techniques.

L'intégration des canalisations en matériaux de synthèse dans le NF DTU 60.1 « Plomberie sanitaire pour bâtiments » et le lancement de la marque NF 545 destinée à certifier ces produits simplifient pour les plombiers l'assurabilité des travaux et le choix de produits de qualité.

Les gestionnaires d'établissements recevant du public (ERP) ont l'obligation de mettre en oeuvre une surveillance des réseaux de distribution d'ECS (eau chaude sanitaire) afin de contenir le risque légionelles. Les exigences en sont fixées par un arrêté du 1er février 2010. Les professionnels en charge de l'entretien des réseaux d'eau doivent s'appuyer sur ce texte pour proposer à leurs clients des contrats d'entretien adaptés. Une posture d'expert qui prend tout son sens dans un contexte de recrudescence des cas de légionellose en France.

Se subtilisant à la convention CIDRE, la convention d’indemnisation et de recours des sinistres immeuble (convention IRSI) est une convention applicable entre assureurs, pour les petits sinistres dégât des eaux et incendie, d’un montant inférieur à 5.000 €, survenus à compter du 1er juin 2018.

Le décret n° 2009-649 du 9 juin 2009 formalise l’obligation d’entretien annuel des chaudières dont la puissance nominale est supérieure ou égale à 4 kW et inférieure ou égale à 400 kW. L’arrêté du 15 septembre 2009 précise les spécifications techniques et les modalités applicables.

Plombiers, carreleurs, aménageurs intérieurs… Différents corps de métiers participent à la pose de baignoires ou de receveurs de douches en acrylique dans la salle de bains. Or, ces équipements sanitaires, lorsqu’ils sont fournis sans structure de support périphérique, ne sont pas autoportants.

Les Robinets d’Incendie Armés, ou R.I.A, les systèmes d’extinction automatique du type sprinkleurs ainsi que les colonnes d’incendie sont des dispositifs de lutte contre l’incendie relevant des qualifications de plomberie.

Eau froide, eau chaude, chauffage, gaz : la mise en œuvre des canalisations dans ou à travers dallages et planchers répond à des règles strictes. Découvrez les règles de l'art et le DTU relatif aux réseaux sous dallage pour une bonne mise en oeuvre.

Désormais courantes, les mesures de désinfection d'un réseau d'eau froide et chaude sanitaire avant la mise en service permettent de s'assurer de la conformité de la qualité de l'eau distribuée jusqu'au point de puisage d'une installation.

Y-a-t-il une obligation d’effectuer une désinfection des réseaux d’alimentation d’eau avant la mise en service, et si oui, qu’elle est la procédure ?

Cet article rappelle les prescriptions relatives aux règles d’incorporation des canalisations d’eau et de gaz. Ces prescriptions sont issues du NF DTU 60.1 (Plomberie sanitaire pour bâtiments) et du NF DTU 61.1 (Installations de gaz dans les locaux d’habitations).

L’arrêté du 29 mai 1997 précise que les matériaux et objets destinés aux installations de plomberie sanitaire et entrant en contact avec l’eau ne doivent pas être susceptibles, dans des conditions normales ou prévisibles de leur emploi, de présenter un danger pour la santé humaine ou entrainer une altération de la composition de l’eau dans les limites réglementaires.

Le cahier des clauses techniques de cette norme parue en décembre 2012 indique les nombreux points de vigilance que doivent maîtriser les installateurs.

Un poste de relevage est installé chaque fois que le niveau d'évacuation des eaux usées est situé en contrebas du réseau de collecte. Il faut alors pomper et acheminer les eaux à une cote d'altitude supérieure, jusqu'à l'égout ou au système d'assainissement autonome.

La mise en œuvre des appareils sanitaires en salle de bain est source de nombreuses interrogations auprès de notre Union. Nous vous présentons ici, sous forme de foire aux questions, les principales dispositions applicables en salle de bain selon les exigences réglementaires et les règles de l’art.

Réalisées par l’Agence Qualité de la Construction (AQC), les attestations d’essais de fonctionnement remplacent, depuis novembre 2016, les anciens procès-verbaux de la COPREC (Confédération des organismes indépendants tierce partie de prévention, de contrôle et d'inspection).

Cet article rappelle les prescriptions relatives aux modes d’assemblages des canalisations de distribution d’eau entre elles et leurs accessoires de raccordement.

La marque NF Raccords en cuivre à braser par capillarité constitue la garantie de la conformité à la norme NF EN 1254-1 « Cuivre et alliages de cuivre – Raccords – Partie 1 : Raccords à braser par capillarité pour tubes en cuivre ». Elle atteste que ces produits proviennent d’une fabrication soumise à un contrôle par tierce partie suivant les spécifications prévues dans le règlement de la marque.

Dans un établissement recevant du public, la hauteur maximum à respecter pour les lavabos, comme pour les tables et guichets, est de 0,80 m (art. 11 de l’arrêté du 1er Août 2006). Cette dernière hauteur semble incompatible avec le vide demandé sous lavabo (0,70 m minimum), compte tenu du matériel qui existe à ce jour sur le marché. Que doit-on privilégier ?

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Les flexibles de raccordement pour la distribution d’eau chaude et froide sanitaire relèvent de la procédure d’avis technique.

Un poste de relevage est installé chaque fois que le niveau d'évacuation des eaux usées est situé en contrebas du réseau de collecte (habitat individuel, collectif, collectivités).

À l'échelle du bâtiment, une bonne gestion de l’eau comprend notamment le bon dimensionnement du réseau d’alimentation, la maitrise des débits et pression, l’adaptation des équipements, le suivi des températures et des consommations ainsi que l’entretien des installations. L’utilisation d’autres ressources pour certains usages (par exemple l’eau de pluie pour les WC) offre également un potentiel d’économie d’eau à partir du moment où tous les autres usages ont été optimisés.

Le marché du solaire thermique en France connaît depuis plusieurs années une forte régression. Il avait atteint un pic en 2008 avec plus de 300 000 m2 de capteurs installés dans l’individuel et le collectif. Il est aujourd’hui revenu en-dessous du niveau de 2006. Pour autant, la technologie n’est pas mise en cause. Le chauffe-eau solaire individuel présente même plusieurs avantages qui sans doute lui permettront de revenir sur le devant de la scène dans les prochaines années, notamment pour ne plus être tributaire des variations de prix pratiquées sur les énergies conventionnelles.

La marque NF « tube en cuivre » constitue la garantie de la conformité des tubes à la réglementation, aux normes et aux textes complémentaires en vigueur les concernant. Elle atteste que ces produits proviennent d'une fabrication dont la qualité est contrôlée suivant les dispositions prévues dans le règlement de la marque.

Les systèmes de maintien en température des réseaux d’eau chaude sanitaire, de mise hors gel et de déneigement, plus communément appelés « rubans chauffants », relèvent de la procédure d’Avis Technique. Celle-ci s’appuie sur un cahier des prescriptions techniques communes de mise en œuvre, le cahier du CSTB n° 2782.

Les canalisations en matériaux de synthèse et leurs systèmes de raccordement relèvent de la procédure d’Avis Technique. Celle-ci s’appuie sur un cahier des prescriptions techniques communes de mise en œuvre, le cahier du CSTB n° 2808_V2 de novembre 2011, qui donne les prescriptions communes à ces systèmes de canalisation.

Les dispositions de la réglementation incendie relatives aux conduits et gaines dans les bâtiments ont pour but de limiter les risques de propagation créés par le passage de conduits à travers des parois horizontales ou verticales résistant au feu.
Cet article fait le point sur les prescriptions applicables aux conduites d’eau ou d’évacuation à l’exception des conduits de ventilation, d'évacuation des produits de la combustion et de gaz.

Nous présentons ci-après un article sur les essais d’étanchéité et de fonctionnement des installations de plomberie. Ces essais sont issus des prescriptions concernant la mise en service des installations de plomberie de la partie 1-1-1 du NF DTU 60.1 « Plomberie sanitaire pour bâtiment » de décembre 2012.