À cette occasion, le président de la FFB a rencontré Jean-Noël Barrot, ministre chargé de la Transition numérique et des Télécommunications, ainsi que Carole Delga et Valérie Pécresse, respectivement présidentes des conseils régionaux d’Occitanie et d’Île-de-France. Il a insisté sur la nécessité de prendre en compte la diversité des entreprises (artisans, TPE, PME, ETI et grands groupes) du secteur en matière de transitions numérique et écologique.
Les acteurs français constituaient la plus importante délégation internationale d’exposants du CES, avec 170 start-up et une quinzaine de fleurons industriels.
Les élus FFB ont pu nouer de nombreux contacts qui viendront nourrir le travail des différentes commissions de la Fédération.
Faire plus avec moins, approcher la neutralité carbone, chercher la sécurité pour tous, trouver de nouvelles sources énergétiques… Le développement durable était au cœur des préoccupations des exposants, tout comme le souhait de remettre les clients au cœur de la relation avec le Web 3.0, les avancées permises par l’intelligence artificielle et les progrès attendus du métavers. (Cette conception technologique alliant réalité augmentée et espaces virtuels viserait à devenir une vraie économie fonctionnelle et un monde collaboratif et connecté. Le métavers est considéré comme le successeur d’Internet par la majorité des acteurs économiques du secteur des technologies.)
Le bâtiment se saisit de ces enjeux, comme l’a souligné le président de la FFB lors des 24 heures du bâtiment.
Une manière de montrer que les dirigeants du bâtiment sont avant tout des bâtisseurs de futurs !