Aussi dans ce supplément BA :
Portrait : libérer le potentiel !
L’aventure a commencé en 1962
par les maisons traditionnelles.
Puis la menuiserie et la charpente.
Année après année, la société
se développe et se divesifie :
bâtiments industriels et
commerciaux, construction de
maisons environnementales
et bioclimatiques, rénovation
tous corps d’état, rénovation
énergétique.
Aujourd’hui, Maho Bâtiment,
c’est 10 sociétés toujours en
éveil sur toutes les évolutions,
pour répondre aux mieux aux
besoins des clients.
Entretien : Une stratégie, un projet et une école de formation en interne !
Lorsque Martine et Pierre Laruaz
ont racheté l’entreprise, en 2004,
elle comptait 30 salariés.
En 2018, les effectifs ont été
multipliés par six : 183 salariés
(en équivalents temps pleins).
Dans ces conditions, il n’est pas
étonnant que le recrutement soit
au cœur de leurs préoccupations !
Entretien : un artisan formateur dans l’âme !
Vingt-cinq ans d’expérience... et
Pascal Lemoine aime toujours
autant son métier.
Entretien : de 1998 à aujourd’hui, l’école des métiers forme les talents en interne !
« À l’origine, il s’agissait d’une
école destinée à transmettre
aux poseurs les compétences
nécessaires pour œuvrer dans
les règles de l’art; la qualité de la
pose étant un élément essentiel
à la réussite d’un chantier »,
précise Ghislaine Esprit, la DRH.
Portrait : l’humain au cœur de l’excellence
« Nous sommes une entre-
prise familiale de 45 salariés,
spécialisée dans les structures
métalliques de tout type, la
menuiserie métallique et la
ferronnerie.
Elle existe depuis 1812, et sept
générations se sont succédé
à sa tête.
Aujourd’hui, mon frère et moi,
formés chez les compagnons du
devoir, tenons les rênes.
Portrait : un chef d’orchestre sans baguette
Pascal, en toute humilité, se
définit comme un des collaborateurs de l’entreprise.
Un membre de l’équipe. Car
c’est bien une équipe soudée qui
fait vivre cette PME de Vendée.
Pascal dirige cette entreprise
depuis une bonne dizaine d’an-
nées, avec une vision radicale-
ment différente de celle de son
prédécesseur.
Portrait : l’orfèvre du bien-être au travail
Cogérante de l’entreprise,
Christelle est directrice administrative et financière et gère
le pôle dépannage.
En tant que chef d’entreprise,
elle se sent responsable du bien-
être au travail et a su instaurer
un climat de confiance.
« Pour qu’une entreprise soit
prospère, il faut que ses salariés
s’y sentent bien. Chez nous, cela
va de la qualité du café mis à
disposition jusqu’à l’intégration
dans la prise de certaines décisions. L’important dans tout ce
que l’on fait, c’est la sincérité. »
Portrait : il pilote le changement en douceur
« J’ai été pendant sept ans à
mon compte avant de reprendre
une entreprise ancrée dans un
territoire et avec une histoire.
Il y a un an et demi, j’ai racheté la
SARL Claude Guillois, qui existe
depuis 1968, et dont l’ancien
patron partait à la retraite.
Des idées à retenir...
Formation, Réussite, Compétences ...